Le festival Papillons de Nuit enrichit sa programmation avec 8 nouveaux noms

Le festival Papillons de Nuit 2026, qui se tiendra du 30 mai au 1er juin 2026 au cœur du bocage normand, dévoile la suite de sa programmation avec : Mika, Biga*Ranx, Skip The Use, Yamê, Marguerite, Miki, Maureen et Sam Sauvage.

Le ton est donné : trois jours de musique et de fête. « P2N 2026 sera une édition haute en couleurs, ouverte, vibrante et fédératrice », annonce l’équipe du festival, qui multiplie les styles cette année : pop mondiale, reggae digital, rock nerveux, shatta caribéenne et hyperpop futuriste. Icône pop depuis Grace Kelly, Mika continue de fasciner par sa créativité, ses concerts spectaculaires et sa capacité à transformer chaque scène en un moment de partage. Son nouvel album, plus intime et poétique, révèle une facette lumineuse et fragile. « Sa venue, c’est la promesse d’un show émotionnel et haut en couleurs », confie l’organisation. Dans un registre totalement différent, Biga*Ranx apporte sa touche singulière. Artiste libre et insaisissable, il revient avec Rainshine, un album où se mêlent chaleur reggae, mélancolie et influences électroniques. Toujours hors des modes, il s’impose avec une signature unique, entre dub, hip-hop et groove électro. « Il avance à son rythme, sans bruit mais sans pause », note le festival. Cette diversité se poursuit avec Skip The Use, qui signe un retour particulièrement attendu. Le groupe lillois dévoile We are good et Distorter, deux morceaux qui annoncent un album plus instinctif et tranchant. Sur scène, leur mélange explosif de funk, d’électro et de punk devient un véritable détonateur. « Skip The Use, c’est l’assurance d’un show bouillant qui remet tout le monde en mouvement », glisse un organisateur. Dans cette dynamique d’artistes en pleine ascension, Yamê confirme une trajectoire impressionnante. Propulsé par Bécane et un premier album largement salué, il séduit par un équilibre subtil entre groove, sensibilité et puissance rythmique. « Sur scène, il déploie toute sa force dans l’échange et la proximité », souligne l’équipe de P2N. Le festival met également en lumière de nouvelles voix telles que Marguerite, révélée dans Star Academy. Portée par une personnalité solaire et des textes intimistes, elle aborde avec sincérité ses questionnements identitaires dans Les filles, les meufs, un premier single prometteur auquel P2N offre une scène idéale pour s’affirmer. Dans un univers plus électro-pop, Miki impose une esthétique immédiatement reconnaissable. Entre hyperpop, city pop japonaise et productions ciselées, elle mélange voix légère, humour acide et textes sur l’identité et le désir. « Une énergie électrique, un charisme désabusé : Miki est une vraie révélation », souligne le festival. La programmation s’enrichit aussi de la présence de Maureen, figure montante d’un shatta incandescent et frontal. À 26 ans, elle défend Queen, un premier album où fusionnent créole, tension électronique et affirmation personnelle. Une artiste qui promet de faire grimper la température à P2N. Enfin, Sam Sauvage vient compléter cette galerie d’univers contrastés. Entre chanson, pop et rock, il se démarque par une présence scénique naturelle et un sens aigu du storytelling. Son titre Les gens qui dansent (j’adore) illustre sa capacité à observer le monde avec humour, tendresse et une mélancolie légère. Sur scène, son énergie fédératrice fait toute la différence.

En réunissant ces artistes venus d’horizons multiples, Papillons de Nuit 2026 promet une édition vibrante et plurielle, fidèle à cette atmosphère de fête chaleureuse qui fait son identité. « On veut une édition qui surprend, qui rassemble et qui fait vivre des émotions fortes », conclut l’équipe du festival.

Visuel ambiance © Elodie LE GALL

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