NO MONEY KIDS en concert au TRIANON

No Money Kids vous invite à la Release Party de leur nouvel album ‘Factory’ le 3 Mars 2022 au Trianon à Paris.

Du rock lo-fi au blues électronique, No Money Kids défie les normes et nous embarque pour un road-trip électrique. Motels miteux, néons clignotants, souvenirs dans le rétroviseur, le duo fonce à vive allure sur une route oubliée dévalée de nuit, l’horizon en cinémascope.
Inspirés autant par The Kills, Beck ou Sparkelhorse, que par Junior Kimbrough et Robert Johnson, les Kids sculptent un electro-blues addictif, des morceaux indie-pop lancinants et douloureux traversés par un rock rauque et vibrant, alternant ballades vertigineuses et hymnes garage, à coups de guitares hargneuses et d’arrangements électroniques.


Après 3 albums en 4 ans, une multitude de placements dans des films et séries, et un neverending tour de près de 300 concerts mis en pause par une pandémie mondiale, No Money Kids ne se contente pas de bégayer son art. Le duo met une nouvelle fois à l’oeuvre son sens de la mélodie et du rythme contagieux pour un nouveau long-format, homemade, do-ityourself,
sans détours ni superflu.
Personnages en souffrance, sur la brèche, en instabilité sociale, affective, les Kids font vivre dans leurs textes la marge et les oubliés. Leur nouvel album « Factory » affole l’aiguille des sismographes et puise son inspiration dans l’univers industriel et ses usines vaporeuses, cathédrales du monde moderne. Brisant les chaînes de production, l’atmosphère sonore et
sensorielle prend racine entre le grondement de la tôle et les étincelles du poste à souder, là où cohabitent l’homme et les machines. Il parait que le rock est mort le jour où il a été mis dans un musée, les No Money Kids le ressuscitent à l’électro-choc dans leur Factory, véritable western post-industriel.

Né d’une rencontre entre deux musiciens de banlieue parisienne, le tandem enregistre ses premiers morceaux et ne tarde pas à se faire remarquer lors des premiers concerts. Mais après une violente crise d’épilepsie en studio et une épaule brisée, Félix Matschulat (Guitarechant)
restera hospitalisé 6 mois, ce qui mettra sérieusement en danger le fait de pouvoir continuer la guitare. Après une longue rééducation, le duo sent l’urgence de retourner sur les planches : ils composent très vite un premier album rédempteur « I don’t trust you », une production brute, spontanée, qui surprend d’emblée. Ensemble ils brisent les codes,
cherchent la beauté dans la douleur, l’ombre dans la lumière et explorent des thèmes faisant honneur aux personnages en marge. Le nom du groupe est trouvé : No Money Kids. Et la forme consistera à faire cohabiter le blues et l’électronique, le vintage et la modernité.
Leur premier disque sort chez Roy Music en Octobre 2015, en édition chez Alter-K.
Entièrement enregistré, mixé et masterisé chez JM Pelatan (Basse-drums-électronique), ils conserveront ce process do-it-yourself pour toutes leurs productions futures.
En parallèle, l’imagerie clair-obscur développée par le groupe séduit le monde de la mode (défilés Schwarzkopf, Stylist, Glamour, Modzik) et inspire les premiers clips avec des réalisateurs internationaux. En 2016, le duo est repéré par le haut-de-gamme du prêt-à-porter, désigné groupe ‘‘découverte’’ de la marque Cotélac avec la création d’un EP promotionnel,
15.000 exemplaires distribués gratuitement dans plus 110 boutiques en France et à l’étranger.
Les hymnes rock de No Money Kids parcourent le globe et ne tardent pas à séduire les ‘music supervisors’ outre-atlantique : nombre de leurs singles se retrouvent dans des séries TV – Banshee, Night Shift, Veep, Killjoys, Goliath, Dollar, Legacies, Servant, Shameless – ou dans des films – Misconduct (avec Al Pacino et Anthony Hopkins), Get the girl ou Baby, Baby, Baby
(avec Bradley Cooper).

Avec un premier album remarqué et plus d’une centaine de concerts qui leur forgent une solide réputation scénique, No Money Kids prend de la bouteille. Pas du pinard ou des bulles bourgeoises, mais un bon vieux whisky tourbeux. Au Printemps 2017, ils reviennent avec l’album « Hear the Silence », et à l’hiver 2018, ils remettent le couvert avec « Trouble ». La
singularité des Kids est encensée par la critique, leur electro-blues est remarqué par Les Inrockuptibles, Rolling Stone, Le Monde, France Inter, France TV, FIP, Sourdoreille… et les nouvelles tournées les amènent à fouler les planches de festivals de renom tels que Rock en
Seine 2017, Solidays 2018 ou Art Rock 2019.
Après avoir voyagé aux quatre coins de la France et de l’Europe, la pandémie mondiale mettra en pause leur never-ending tour en Mars 2020. Habitués à composer sur la route, sur le vif ou
entre deux tournées, le confinement et l’immobilité changeront drastiquement leur rapport au temps et à la création. Ainsi l’album « Factory » s’imprégnera de l’atmosphère isolée de l’usine, composé dans l’intimité du confinement et prévu pour la fin 2021, traversé par les
angoisses du monde d’après et d’une société post-industrielle à la dérive.

Le nouvel album de No Money Kids nous plonge dans l’univers fantasmagorique de l’usine. Ce poumon de notre économie, moderne, imposant, solide, poussiéreux, sans âme mais tellement vivant. Comme une ôde aux heures ouvrières et une inquiétude pour nos sociétés postindustrielles, « Factory » explore cet univers à la fois onirique et inquiétant, où se mêle production et aliénation, modernité et archaïsme, hommes et machines, rêves et cauchemars.
Reverb grandiloquante, guitares rugissantes, basses écrasantes, la production de l’album mènera le duo jusqu’à apporter enregistreurs et micro-contacts in-situ, au plus près des ronronnements mécaniques et des vibrations métalliques, offrant un voyage entre cris de révolte et murmures de mélancolie.

« La scène est notre premier moteur ». Les No Money Kids ont défendu leurs premiers enregistrements avec près de 300 concerts depuis 2015, comptant des premières parties prestigieuses et des festivals de renom.

Camp Claude assurera la première partie, le trio anglo-franco-américain-suédois est composé de Diane Sagnier, Leo Hellden et Michael Giffts. Fondé en 2013 à Paris, le groupe à sorti deux albums et joué en live jusqu’à ce que le monde s’arrête de tourner en 2020. Sur fond d’électro rock pop cold wave planant défini comme de la sky wave, Camp Claude est de retour sur scène en 2022 avec de nouveaux morceaux prêts à vous faire vibrer.

Jeudi 3 mars 2022 – 19h00 – Plein Tarif 20,20€

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