Le nouveau single “Brûler le temps” de Fiona Walden est une chanson pop mélancolique qui parle de la transition de l’adolescence à l’âge adulte. Le morceau, accompagné d’un clip en noir et blanc, est un hommage intime aux personnes aimées et perdues. La danse instinctive face à l’immensité des falaises symbolise le contraste entre la naïveté de la jeunesse et la réalité de l’âge adulte.
À l’avant-garde de la pop française, l’autrice, compositrice, productrice, Fiona Walden conceptualise et maîtrise chacune des étapes de son identité musicale et visuelle pour créer un univers hypnotique et singulier.
Avec son premier EP ‘Wanted’ aux accents pop folk, Fiona retient l’attention des médias qui la comparent souvent à une Patti Smith des temps modernes. Elle remporte ensuite le prix coup de coeur du Chantier des Francos en 2017 avant
de prendre un nouveau tournant dans sa carrière en explorant le sound design (Givenchy, Unprint…) pour mieux se réinventer. C’est en découvrant le travail de composition et de production en solo pour la première fois que de nouveaux horizons s’ouvrent à elle. Fiona expérimente en studio pour façonner sa nouvelle direction artistique et forge un univers pop unique né de sa rencontre avec les machines. On y retrouve sa signature principale : sa voix, grave et envoûtante qui révèle un mélange de sonorités pop, electro, hip hop.
Brûler le temps est une chanson pop au texte saisissant de mélancolie. L’entrée brute et épurée au piano/voix révèle une écriture marquée par le spleen
qui vient nous toucher en plein cœur.
Les synthés élégants contrastés d’un beat s’ensuivent pour nous transporter dans un voyage introspectif entre adolescence et âge adulte.
« Je parle de la naïveté et de la fougue d’une période de ma vie plus adolescente où j’ai vécu très vite, sans penser au lendemain ni aux conséquences. C’est un des morceaux le plus intimes que j’ai pu écrire car je m’adresse individuellement à des personnes que j’aime, que j’ai aimées mais aussi à celles que j’ai perdues. » Le morceau s’accompagne d’un clip en noir et blanc à l’esthétique très mode.
La poésie des mots s’allie à celle des gestes et des sons, Fiona Walden explore la danse en opposant des mouvements hybrides et instinctifs à l’immensité des falaises lui faisant face.
Photos : Arthur Nelli
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